Tout l'été
Une journée à la plage à Mandelieu
Ce matin-là, j’ai mis mon téléphone en mode avion et mes pieds dans mes sandales. Direction la mer, sans plan précis. Juste l’envie de prendre l’air.
À Mandelieu, les plages ne manquent pas, mais ce que j’aime surtout, c’est leur variété. Il y a la Plage du Château, calme, posée entre les murs de pierres rouges de l’Estérel et l’eau cristalline. On y vient pour respirer, observer les reflets et savourer le calme de l’endroit.
📍 Plage du Château – Bd Henry Clews – stationnement gratuit ou zone bleue
Un peu plus loin, la Plage Robinson, vivante, solaire. On y croise des groupes joyeux, des enfants qui creusent, des amis qui jouent au beach volley. L’ambiance est simple, familiale, bon enfant. On alterne entre une trempette, un livre, une glace, un regard vers les îles de Lérins au loin.
📍 Plage Robinson – Avenue du général de Gaulle – stationnement gratuit
Quand l’envie d’évasion me prend, je file vers la base nautique. Paddle, kayak – peu importe, tant que je peux glisser sur l’eau…. La liberté !
📍 Base nautique – Avenue du général de Gaulle – stationnement gratuit
Le déjeuner se fait à l’ombre, dans un resto les pieds dans le sable. Assiette fraîche, glace et citron pressé au menu… On oublie le temps, les obligations. On est bien.
Chaque plage possède sa cabane snacking !
📍 Sinon, voici les restaurants de plage à Mandelieu.
L’après-midi se prolonge doucement entre farniente et baignades, puis vient le moment que je préfère : la lumière dorée sur la Plage de la Rague. C’est un endroit discret, presque caché, où le soleil se couche doucement. On s’y retrouve souvent entre amis, avec une serviette jetée sur le sable et un verre à la main. Pas besoin de plus.
📍 Plage de la Rague – Port de La Rague – stationnement payant
💙 TIPS SECRET > garez vous gratuitement au niveau de la plage du château de La Napoule et emprunter le sentier du littoral ! Une vue à couper le souffle et une balade hyper cool (10 – 15 minutes).
Mandelieu, c’est ça. Une journée sans heure. Des paysages qu’on garde dans les yeux. Et cette impression douce d’avoir été exactement là où il fallait être.